Victoire nette et sans bavure pour le maire sortant qui au second tour distance largement la candidate frontiste Lydia Schénardi de 18 points (22,65 % contre 44,48 pour Jean-Claude Guibal) ; l’orage est passé sans coup de tonnerre dans le ciel de Menton où le bleu azur a fait de l’ombre au bleu marine.

Ceux qui préconisaient une vague déferlante en sont finalement pour leurs frais car le raz de marée annoncé a été détourné. Comme nous l’annoncions dans nos colonnes, la Guibalie 5 est en route.
Encore un coup pour rien pour les détracteurs qui rêvaient de voir le maire au tapis. Il leur faudra patienter six ans pour tenter de prendre la mairie d’assaut. Six ans pour que Patrice Novelli se fasse les dents et acquiert l’expérience nécessaire, six ans pour que Lydia Schénardi se fasse une bonne place au conseil de l’Europe à en oublier la Riviera et six ans pour que Pascale Gérard trouve enfin un terrain d’entente avec un partenaire de gauche pour faire alliance.
Six ans, c’est long et court à la fois, assez pour que le maire sortant prépare son after à moins qu’il envisage la passe de six. Compte tenu de sa relative facilité à franchir les étapes et de sa confortable majorité qui se traduit par 26 élus à la mairie et 14 à la CARF, tout est possible. Jean-Claude Guibal reste le seigneur de Menton.
Photo : Jean-Claude Guibal. ©DR
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