C’est au Théâtre de Verdure de Nice qu’a eu lieu pendant deux jours « les Nuits du Théâtre. Samedi soir, le programme affichait « Les p’tits gars laids » en première partie, suivi du comédien Antoine Duléry.

Dès les premiers accords du groupe de musique « Les p’tits gars laids », c’est tout un public aussi hétéroclite qui soit qui se laisse aller. Non sans rappeler le timbre de Raphael ou le style à la Renaud et s’inscrivant dans la chanson française, l’essentiel de leur musique dévoile des chansons à textes sur des mélodies entraînantes où les instruments joue en chef. Sur des sonorités parfois mélancoliques, mais principalement aussi joyeuses que festives, le groupe Niçois partage sans compter le bonheur d’être avec son public.
Coup de coeur du petit niçois pour la chanson « je suis d’ailleurs » où la simplicité et la sincérité des chanteurs et musiciens rendent le moment magique. Pieds nus, jouant des airs rappelant parfois des rythmes tziganes, les 4 hommes, François, Romain, Arnaud et Jean-David, trompent les apparences et ne sont définitivement pas des amateurs.
Ce que l’on peut leur souhaiter d’ici la fin de l’année ? « Toujours plus de concerts, de rencontres et pourquoi pas un Label pour arriver à vivre uniquement de notre passion : la musique » nous confie un membre du groupe.
En seconde partie, Antoine Duléry, qui propose un one man show autour de quelques-uns de ses plus grands acteurs et comédiens. Un hommage au cinéma et au théâtre du présent, mais surtout du passé, avec jeux d’imitations autour de Belmondo, Delon, De Niro ou encore Jouvet ou Luchini qu’il joue avec brio.
Il multiplie les mises en abîmes tout en arrivant à garder le fil rouge de son histoire : un comédien à une soirée entre amis qui n’arrive jamais à partir et qui raconte via des anecdotes les plus grands des planches et du grand écran.
Parfois un brin schizophrène, le public n’est pourtant jamais perdu entre la réalité, le passé, le présent et le récit. Si le spectacle ne peut, sur le papier, ne pas paraître accessible à tous, il manie aussi l’humour de 2014 en donnant un cours de verlan au public, en apostrophant les politiques d’aujourd’hui ou par un sketch 100 % véridique sur la SNCF.
Au détour du show, le comédien lâche une phrase, qui sans équivoque, le raconte à tous les temps « je me presse de rire de tout, de peur d’en avoir à en pleurer ». Un passionné qui opère avec succès un retour sur la scène et qui définit son show non pas comme « des imitations, mais de l’amour ». Antoine Duléry nous avoue qu’il jouera ce show qu’il aime tant encore longtemps, et que dans le futur « la porte de son évolution reste ouverte … ».
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