A Rio, deux endroits se sont improvisés « clubs des supporters » de l’équipe de France. Le So 5, un club de foot à 5x5 situé… sur le toit du Clube de regatas Guanabara, dans le quartier de Botafogo. Et puis il y a le « Très », un bar situé sur le poste 3 de la plage de Copacabana.

Ils étaient quelques dizaines de Français réunis là, dimanche, pour l’entrée dans la compétition des Tricolores. Plutôt confiants avant d’affronter le Honduras. « Deschamps a changé beaucoup de choses et l’état d’esprit est bien meilleur qu’il y a quelques années » analyse Pierre- Yves, un des barmen. « On peut avoir confiance en cette équipe » annonce-t-il clairement !
A quelques mètres de là, les Brésiliens jouent au futebol sur la plage. Le soleil illumine cette fin d’automne quand le coup d’envoi est donné à Porto Alegre. Visages crispés, les supporters français pestent quand Matuidi puis Griezman tapent la transversale adverse : « Ca craint ! » avance Ludivine, une Française qui vit au Brésil depuis quatre ans. « Ils font plein de cinema, ces Equatoriens ! ». Euhhhh… Honduriens, Ludivine ? « Ils sont sans arrêt au sol et ils jouent dur. Je n’aime pas du tout ces Hondurassiens ! ».
Elle commande une bière en prévision de la mi-temps quand Pogba obtient un penalty. Benzema le transforme, la France mène, les supporters irradient, plus tranquilles : « Avec le Honduras à 10, ça devrait le faire » anticipe Yann, un Breton en vacances pour la « Copa do mundo ».
Les faits lui donnent raison en début de 2e période, avec un demi but de Benzema, le premier de l’histoire de la GLT, la goal-line technology, finalement attribué au gardien hondurien contre son camp : « Et je ne suis même pas sûre que le ballon soit rentré » rajoute Ludivine qui a longuement crié « goooooooooooooooooal » dans la plus pure tradition locale.
Quelques bières et un but de Benzema plus tard, les supporters français peuvent plier leurs drapeaux. Pas leurs espoirs. « C’était pas mal, il y a de l’envie dans cette équipe et un très bon Benzema » détaille Yann. « J’irai les voir au Maracana mercredi contre l’Equateur, mais je pense qu’on sera déjà qualifiés avant ! ».
Son ami carioca Eduardo, 100% Brésilien et francophone, approuve : « On aime beaucoup la France, ici. Et sa tradition de jeu, elle nous ressemble un peu. Mais on a 1998 à venger. On a Zidane et le 1 et 2, 3-0 en travers de la gorge. On est à la maison, le Brésil va gagner ! ».
Le tout… avec le sourire !
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