C’est une fin de semaine difficile pour les supporters de l’OGC Nice. Outre les peurs de la suppression du football populaire, c’est l’aigle niçois qui a été touché par la ligue. Elle veut interdire son envol d’avant-match. Suite à cette annonce la colère fuse chez les Niçois.
L’aigle qui survole le stade avant le début de chaque match, à l’Allianz Riviera, est un des symboles les plus forts que détient la ville. Cette icône du gym est fascinante et elle est rapidement devenue un moment incontournable de l’avant-match.
C’est un instant de bonheur et d’émerveillement pour les plus jeunes et un moment symbolique et émouvant pour les supporters ou les plus âgés. Mais l’aigle peut connaître, par la suite, un triste sort. En effet la ligue de football professionnelle (LFP) veut interdire le vol de ce dernier. Elle a décidé de revenir sur sa décision de début de saison pour des raisons de sécurité, l’oiseau aurait « un comportement dangereux ».
Mais suite à cette annonce, Julien Fournier, le directeur général de l’OGC Nice, a confié que le rapace ne restera pas au sol. « Nous avons décidé de ne pas nous conformer à cette décision qui est contestable sur le fond et la forme » explique-t-il. Malgré l’interdiction de la ligue, l’aigle s’est envolé samedi soir, sous un public heureux de le voir voler. Les Niçois sont, quant à eux, à 100% derrière lui. Sur les réseaux sociaux la colère fuse.
Effectivement, les supporters sont scandalisés et choqués par la décision de la LFP et font, plus que jamais, entendre leurs voix pour sauver le symbole niçois. Une page facebook, « soutien à l’aigle », s’est mise directement en ligne. Cette dernière a déjà réuni, depuis le 12 avril, plus de 8 000 contestataires.
Outres les fervents supporters, toute la ville s’est mobilisée pour défendre l’oiseau, bec et ongles. Le maire de la ville, Christian Estrosi, a écrit au président de la ligue pour lui faire part de son incompréhension. Dans cette dernière le député explique que « L’aigle de Nice, partie prenante de notre histoire puisqu’il figure sur nos armoiries depuis six siècles, est un symbole de rassemblement.
Cet aigle rassemble autour de lui l’adhésion entière de toute une population. (…) Comme tous les Niçois et tous les citoyens de cette terre entre mer et montagne, les enfants de nos écoles ont adopté cet aigle. (…) L’aigle totalement apprivoisé ne représente aucun danger. »
Il finit sa lettre en appelant la ligue de football à revenir sur sa décision et de « permettre à toute une population d’un territoire attaché à son identité et à sa culture de continuer à s’émouvoir, à vibrer pour son aigle et pour le football. »
En espérant un changement d’avis de la part de la ligue, la fierté niçoise continuera donc de s’envoler lors des prochains matchs des aiglons à domicile, pour le plus grand bonheur des rouges et noirs.
Photo : © ville de Nice.Pricilia Renou


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